Le mouvement « zéro déchet » vise à réduire la quantité de déchets produits afin de protéger l’environnement. Le recyclage du plastique à ses limites, la production d’objets à usage unique est vecteur de pollution et certaines ressources, surexploitées, se font de plus en plus rares. En Belgique, nous sommes de plus en plus nombreux à rejoindre le mouvement. Alors, pourquoi pas vous ?
Publié le 31 aoû 2023
Temps de lecture : 3 minutes
Produire moins d’objets à usages uniques pour protéger l’environnement
De la collecte des matières premières à l’enfouissement (ou l’incinération), les objets à usage unique sont particulièrement polluants. En effet, en plus de surexploiter des ressources naturelles (qui en deviennent de plus en plus rares) aux quatre coins de la planète, la conception, la production et la distribution génèrent de la pollution.
Si en Belgique on recycle 57% des déchets ménagers, sur les 20 dernières années, la quantité de déchets produite par personne et par an n’a pas diminué (on tourne toujours autour des 500 kilos).
Le recyclage, quant à lui, à ses limites (on ne recycle pas tout ce qu’on collecte, certaines matières ne sont recyclables qu’une seule fois…) et même si on recycle de mieux en mieux (de 32% à 46% entre 2005 et 2017 en Europe), un déchet qui n’est pas produit reste un déchet qu’il ne faut ni incinérer ni recycler !
Alors, comment faire ?
Pour lutter contre la surexploitation des ressources, le gaspillage et les émissions de substances toxiques, l’usage de produits réutilisables de recharges et/ou encore d’emballages biodégradables constitue une solution.
Ré-utiliser et recharger pour réduire sa production de déchets
À l’Envol du Colibri, nous proposons une large gamme de produits respectueux de la nature et de l’environnement :
Des textiles naturels pour lutter contre les microplastiques
Plus de 700.000 fibres de microplastique (ces particules de matière plastique de moins de 5mm) peuvent être relâchées lors d'une lessive de vêtements synthétiques. Ainsi, chaque lessive de 6kg à 30° ou 40° rejette dans la nature :
- 728.000 microfibres dans le cas d’un vêtement acrylique;
- 496.000 fibres dans le cas d’un vêtement en polyester ;
- 138.000 fibres dans le cas d’un vêtement en coton-polyester.
Bien d'autres matières synthétiques contribuent également à cette pollution invisible : polyamide, élasthanne, nylon, etc.
Pour combattre ce fléau, l’achat de vêtements en matières naturelles (comme le chanvre, le lin, le coton bio…) est la solution.
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À l’Envol du Colibri, nous proposons du prêt-à-porter pour hommes et femmes issu de marques éco-responsables, durables et/ou éthiques. Découvrez notre large gamme en ligne ou en boutique (Namur) !
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Sources :
